je ne supporte plus mon mari qui boit

Leïlapartage, elle, une maison divisée sur trois étages avec huit colocataires dans le nord de Londres. “Entre ceux qui sont obligés d’aller travailler, et ceux qui ne respectent pas le confinement, ça rentre et ça sort comme dans un moulin”, explique la journaliste de 39 ans. “Le 24 mars, après seulement deux jours de confinement, ma coloc brésilienne a ramené une Monmari est de plus en plus violent verbalement avec moi depuis la naissance de notre fille (3 ans). Pendant longtemps, je n’ai rien dit en espérant qu’il se calme. Aujourd’hui les cris, les humiliations, je ne les supporte plus et j’ai peur qu’un jour il me frappe ou frappe notre enfant. J’ai décidé de lui dire petit à petit Maisje suis PA et ne peut l'être parce que mon mari ne le supporte que pour lui même. Ca me manque, ma liberté. # bonheur. le samedi 20 août 2022 à 16h48 . trioberlue Mais je suis PA et ne peut l'être parce que mon mari ne le supporte que pour lui même. Il est libertin ou poly, ton mari ? Parce que du coup, il n'est pas poly, s'il ne supporte pas ton polyamour. # Inscritle: 21/11/2008 Messages: 53 877: Bonjour à toutes et à tous, Un peu d'arrosage ce suis déjà sur les rotules à force d'arrosoirs et de tirer le tuyau.Mais vu la chaleur qu'il a fait hier dans la journée, mieux vaut prévoir que le Soleil sera encore et toujours en force ce jour Bon Mardi à tous. Bisous. denise Quanda l'ex, je pense que tu l'as idealise pendant toutes ces annees ou ton mari buvait de plus en plus. Si tu quittes ton mari, je te conseillerai une pause, histoire de voir ou tu nonton film turki siyah beyaz ask subtitle indonesia lk21. Le Deal du moment Coffret Pokémon Ultra Premium Dracaufeu 2022 en ... Voir le deal Institut Chevalier Admission Dossier rejetéPartagez AuteurMessageInvité ❝ Invité ❞Sujet Luna Stuart ~ titre en route. Sam 31 Mar 2018 - 1952 Luna StuartInformations Salut à toi, je m'appelle Luna Elisabeth Stuart mais tout le monde me surnomme Luna et je suis née le 10 décembre 1472, à Suffolk, Angleterre. Si tu sais compter j'ai donc 545ans. Aujourd'hui, je travaille en tant que étudiante. Tu veux savoir un secret ? Dans la vie je suis hétérosexuel et je suis actuellement célibataire. Oh, et surtout n'oublie pas que je suis une vampire. Pour terminer ma principale phobie est la solitudePouvoirsAvant sa transformation en vampire, Luna n'avait rien de spécial. Elle ne possédait aucuns pouvoirs et cela avait même un grand coté obscure pour elle puisqu'elle n'entendait parlé que de femmes sorcières, sans jamais avoir la preuve que cela soit vrai. A coté de cela, elle n'avait aucunement connaissance que d'autres créatures peuplaient ce monde, mis à part sa mégère de sa transformation, elle eut certaine capacité uniquement lié à sa nouvelle condition. Ses sens se sont aiguisés au fil des jours, la vue tout d'abord qui lui a été utile dès sa sortie de terre. Son regard s'étant posé sur son créateur en ayant la capacité de voir le moindre pore invisible pour un humain à la distance où elle se tenait. Puis l'ouïe quand son créateur lui a adressé la parole, dans un murmure à peine audible pour les humains et qui était comme un hurlement pour ses oreilles. Le toucher, après s'être rendue compte qu'elle avait agrippé le sol, elle arrivait à sentir le moindre grain de terre sous sa peau et les vers de terre se frayant un chemin pour s'éloigner d'elle... L'odorat, quand sa gorge s'est mise à la la brûler atrocement et qu'elle sentait de mieux en mieux l'odeur de l'ours passant non loin et finalement, le goût. Le plus bienvenu de ses nouvelles capacités, le goût lui procurant un plus grand plaisir encore qu'auparavant pour ce qui lui emplissait désormais la bouche et qui lui redonnait vie. La force s'est décuplée, lui permettant d'arracher des arbres si elle le désirait, arracher des têtes comme bon lui semblait, prenant plaisir à réduire en poussière le moindre vampire qui n'acceptait pas les règles de son créateur... La rage aussi s'était décuplée, certainement à cause de sa condition, des innombrables questions qui lui remplissaient la tête et la certitude qu'une seule personne était derrière ce qui devait être son dernier jour. Elle s'est révélée être une incroyable pisteuse, Luna ayant la capacité de trouver les autres vampires autour d'elle, elle pouvait ainsi prévoir si des semblables allaient s'interposer. Elle pouvait également donner la position des alliés lors de batailles sanglantes, elle a gardé une place longtemps auprès de son créateur, puisqu'il la considérait comme un atout majeur et une adversaire redoutable. Pour finir, elle semble attiré beaucoup de personnes. Une capacité qu'elle avait déjà avant sa transformation, uniquement grâce à son éducation, sa place dans la société et à sa beauté naturelle... Cette capacité a pris une proportion énorme après sa transformation, un don commun aux vampires qui leur est bien utile pour séduire et faire entrer dans leurs filets la nourriture, des proies, des adversaires...Télékinésie Présence 00% Contrôle NulLinguisme Présence 50% Contrôle CorrectApprentissage accéléré Présence 20% Contrôle NulRésistance Présence 90% Contrôle Très bonPerception Présence 80% Contrôle BonVision améliorée Présence 90% Contrôle Très bonEmpathie Présence 15% Contrôle Nul Caractère Luna était une personne douce, tendre et aimante, elle avait toujours les mots pour réconforter et apaiser. Autant les gestes, que les paroles, elle n'avait pas une once de méchanceté en elle. Elle n'avait de cesse de clamer son amour à qui voulait bien l'entendre, notamment à son père qu'elle a aimé d'un amour incommensurable. Il était dit d'elle, qu'elle avait un incroyable sens de l'humour et qu'elle était toujours prête à rire de tout, de toutes les situations. La moindre maladresse de sa part, la faisait rire, d'un de ces rires communicatifs. Étant la seule enfant survivante, ses parents l'ont toujours entouré, si bien que Luna put également montré à quel point joyeuse, sa joie étant aussi communicative que l'était son humour. Elle aimait voir le verre à moitié plein en prenant toujours le meilleur de la situation, pour ne jamais devoir se perdre dans la tristesse. Il n'était pas rare de la voir continuer de sourire lors de jours de deuil, uniquement parce qu'elle se rappelait les bons jours et qu'elle voulait ne se souvenir que de cela. Intelligente, Luna s'est toujours trouvé entouré de livres quand sa famille n'avait pas le temps de lui prêter attention. Elle a rapidement compris ce que l'on attendait d'elle, trouvant les décisions justes et n'hésitant pas à donner son point de vue avisé sur d'autres points. Biographie Luna ne s'est pas appelé de la sorte à sa naissance, il est alors bon dans revenir au début pour comprendre les changements qui ont amené à l'abandon de son identité. Elle se prénommait Anne de Mowbray à sa naissance, née le 10 décembre 1472 au château de Framlingham, elle était une enfant attendue. Née dans une famille qui avait déjà perdu nombre d'enfants, sa famille redoutait le moment de l'accouchement, par crainte de voir un enfant mort né. Cela ne fut pas le cas pour Anne, après examen médical, elle s'est avéré être une enfant en pleine santé pour le plus bonheur de la famille. Ses parents se prénommaient John De Mowbray, 4ème duc de Norfolk et Elisabeth de Mowbray, alors duchesse de Norfolk. Quand au reste de sa famille, pour situer un peu son entourage, ses grands parents maternels étaient John Talbot, 1er comte de Shrewsbury et sa seconde femme Lady Margaret Beauchamp. Etant une enfant attendue, désirée depuis ce qui pouvait paraître des années, Anne fut très entouré jusqu'à la mort de son père en 1476, alors qu'elle allait fêter ses 4ans. Il est cependant dit qu'elle l'aimait déjà terriblement et qu'elle n'était visiblement bien que dans ses bras. Elle n'aura cependant pas eu le temps de confirmer son amour pour lui, puis qu'il s'est éteint rapidement. Anne fut alors une riche héritière et cela lui a permis aussi d'être consacré duchesse de ans sont passé dans le calme, Anne sachant très bien que le temps viendrait rapidement où elle devrait se marier, même sans amour comme la plupart des mariages de noble à cette époque là et c'est à l'âge de 14ans qu'Anne devint l'épouse de Richard De Shrewsbury. Ce qui semblait être, à juste titre, un mariage arrangé, les deux amants ont rapidement eu de véritables sentiments l'un envers l'autre. Anne n'aurait pu rêver mieux puis qu'elle n'était pas du genre à aimer les mariages arrangés, elle aimait la liberté, avoir le choix, mais elle savait également que le mariage était le seul moyen de conserver ses titres. Durant cette période, Anne avait le droit aux foudres de sa belle-mère qui lui ordonnait de donner un héritier à son fils, sans plus attendre et que t-elle était ma seule mission... Anne n'eut pas le temps de réaliser cette dut mener une bataille juste un an après leur mariage, une bataille qui n'a pas été de tous repos et c'est là, qu'Anne l'a cru mort après avoir eu vent de la défaite des troupes de son mari. Abattue par la terrible nouvelle, Anne a longtemps porté le deuil et n'a retrouvé la lumière que quatre ans plus tard, après que sa mère ne l'ai inciter à se reprendre, afin de pouvoir retrouver un mari uniquement pour garder ses titres. Cependant, contrairement au premier mariage, Anne n'a pas été heureuse. Elle avait épousé un jeune homme de son âge, de sa classe sociale après avoir passé quelques temps dans l'univers de Richard. Elle est retourné dans le Norfolk où elle a trouvé un nouveau mari, certes tout à fait gentil et attentionné, mais il n'était pas Richard et Anne ne l'avait jamais caché. Ils ont cependant fait un long chemin ensemble de manière agréable, mais sans grandes joies non plus. Un jour, alors qu'elle ne s'attendait plus à recevoir le moindre signe de la maison d'York, elle a trouvé une lettre et une rose blanche. Sous le choc, Anne n'a pas pu ouvrir la lettre de suite, elle l'a laissé cacheté durant des jours avant de se décider d'en découvrir le contenu. Richard était vivant, on l'avait trompé, elle s'était remarié en pensant ne plus jamais le revoir... Elle a nourrit l'espoir de le revoir alors, sans jamais pouvoir assouvir cet espoir. Elle a alors continué sa vie en espérant qu'un jour, le destin arrive à lui sourire, mais il n'en fut rien...Par la suite, alors qu'Anne avait fêté ses 22ans et qu'elle se rendait chez sa mère en carosse, elle a été attaqué par une bande de brigands qui en voulait à sa fortune aux premiers abords. Elle a vu sa vie défiler devant ses yeux, s'arrêtant sur les souvenirs de son jeune garçon qu'elle avait réussi à donner à son mari, trois ans... C'était si -trop- jeune pour perdre sa mère, Anne s'est alors rappelé qu'elle avait perdu son père vers cette âge également et que c'était un peu, comme l'histoire qui se répétait. Les yeux en larmes, elle était prête à accueillir la mort, laissant son corps se faire mutiler à maintes reprises et on l'a laissé pour morte sur un tas de feuilles devait s'arrêter là, aurait du s'arrêter là... et c'était pour le mieux, même si elle laissait des gens derrière elle, elle était heureuse sur le moment... jusqu'à ce qu'elle se réveille, brusquement entouré de terre. Elle a creusé, creusé jusqu'à sentir une légère brise sur ses doigts fins. Des souvenirs lui revenaient en mémoire alors qu'elle était à l'agonie boit Luna avait bu, machinalement, sans réfléchir, croyant presque à un rêve... Puis ça avait été le grand vide. Ses doigts avaient fini par trouver la brise libératrice, Anne a réussi a sortir la tête de la terre, trouvant alors devant elle un homme silencieux tout d'abord. Elle avait agrippé le sol de toutes ses forces en se rendant compte qu'elle ressentait différentes choses depuis qu'elle avait sorti la tête de son trou. Elle ne comprenait pas ce qu'elle faisait enterré, rien du tout étant donné qu'elle n'avait jamais eu vent de ce genre de a d'abord cru à un décérébré, un sadique se plaisant à voir les gens se débattre dans un trou, alors qu'ils n'étaient pas mort... Il y avait des personnes étranges dans tous les recoins, certains plus que d'autres. Elle s'est sorti complètement du sol pour se mettre sur le sol où se trouvait encore de l'herbe et des feuilles, elle regardait tout autour d'elle jusqu'à remarquer son carrosse à moitié brûlé, l'un de ses chevaux morts et deux hommes qui l'accompagnaient, désormais à l'horizontal avec une mare de sang autour d'eux. L'homme qui se trouvait près d'elle fini par lui parler Comment te prénomme tu ? Anne a déglutit, se rendant compte que l'homme avait murmuré alors qu'il lui avait semblé l'avoir entendu crier. L'ouïe qu'elle semblait avoir désormais, c'était développé... C'était perturbant. Cependant, elle finit par lui répondre machinalement, après avoir regardé autour d'elle pour voir le moindre détail qu'elle n'avait jamais perçu auparavant. Anne...Je m'appelle Anne. Il avait semblé à l'homme à moitié caché par son capuchon et les rayons de la lune, qu'il avait souri, légèrement. Anne avait alors froncé les sourcils, intrigué par ce sourire, alors qu'il n'y avait pas vraiment lieu de rire. Qu'est ce que je faisais enterré? Pourquoi vous êtes là? Qui êtes vous? Pourquoi... je... Mais elle s'est tut, la tête lui lui a alors tout raconté, en commençant par son nom Dracula, en personne. Anne avait été transformé par Dracula qui cherchait à lever une armée, elle n'en avait jamais entendu parler cependant, alors il lui a tout expliqué, sa véritable nature, son besoin en nourriture... Anne a été horrifié d'apprendre comment il fallait se nourrir et elle a refusé catégoriquement de s'attaquer aux humains si elle pouvait faire autrement. Elle s'est nourri d'animaux dès son premier repas, pas forcément tous les suivants, mais quand elle le pouvait, elle gardait cette idée de ne pas faire souffrir les mesure que les jours sont passés, Anne a appris les spécificités des vampires et a suivi son créateur dans son objectif, l'envie de se répandre et s'est mise à le protéger comme elle le pouvait. Notamment en éliminant ceux qui avaient l'audace de s'en prendre à plus fort qu'eux. A coté de ça, durant quelques années, elle a cherché à trouver qui était à l'origine de son assassinat, dans le but de lui faire payer. Elle a retrouvé ceux qui avaient payés les brigands, remontant la chaîne comme elle le pouvait en développant une haine, une soif de vengeance comme elle n'avait jamais eu. Anne n'est pas encore remonté au tout premier ordre donné pour son meurtre, mais elle a toujours été persuadé qu'elle retrouverait la personne qui avait fait ça, tout en continuant de travailler au coté de Dracula, alors que les vampires peuplaient de plus en plus les recoins de la Terre. Finalement, les années sont passés, Anne a abandonné son identité complètement en arborant le prénom de Luna, un clin d'oeil à son créateur et les rayons de lune qu'elle avait pu voir à son réveil. Et un nom de famille d'une riche famille éteinte, d'où elle put s'accrocher pour tirer un peu d'argents et refaire sa vie. Stuart, Luna Stuart était née. Dans les années 2000, alors qu'elle parcourait l'Allemagne, elle a été kidnappé par un laboratoire secret d'où elle a subit un nombre incalculable de tests. Il n'y a cependant pas énormément de chose à raconter puisque les scientifiques faisaient toujours en sorte de lui effacer la mémoire, un peu pour leur propre sécurité, mais surtout pour leur grand plaisir. Luna n'a retrouvé la lumière du jour en quelques sorte qu'en 2016, un groupe de chasseurs ont réussi à mettre la main dessus et l'ont ramené à l'Institut pour la prendre en charge. Ravie d'avoir retrouvé l'air frais, mais amnésique, Luna a eu du mal à s’acclimater à sa liberté retrouvée. Convalescente durant quelques mois, elle put enfin se balader sous les rayons du soleil en retrouvant peu à peu sa mémoire. Il lui reste encore des pans de sa vie qu'elle n'arrive pas à expliquer. Elle se rappelle de son enfance, son assassinat, de quelques brides sa vie vampirique... mais elle ne se rappelle pas de ce qu'elle a fait pour être capturé, être sans défense durant 6ans... elle ne se rappelle plus non plus de son créateur, elle se rappelle juste qu'elle savait pleinement se servir de ses est désormais désorienté, perdue, incapable de dire ce qu'elle peut bien faire dans cette école, qu'elle est son but maintenant, à part réussir à ne plus briser table et chaise en les attrapant... Ses capacités la perturbant parfois, elle préfère vivre seule, rester dans son coin pour ne pas devoir se mettre à se boucher les oreilles, avoir peur d'une ombre ressemblant à ce qu'elle avait dans le laboratoire, un bruit qui pourrait ressembler à un des hommes qui l'avaient gardé prisonnières. De l'autre coté de l'écran ♪ Pseudo/prénom Crack./Déborah♪ âge 26ans♪ Présence 7/7♪ tu nous as trouvés comment ? ben, j'ai été tiré par la peau des fesses durant des mois, puis j'ai fini par m'inscrire et puis voilà ♪ Une dose d'amour ? louha Dernière édition par Luna Stuart le Jeu 5 Avr 2018 - 1920, édité 8 fois James Stanley ❝ Chasseurs ❞ Age 31 ans, 19 mars 1990 Race Sylphe, héritier d'Eole✴ Pouvoirs - Aérokinésie - Energy Blast - Lévitation - Téléportation - Electrokinésie - Passe Partout Célébrité Aaron Taylor Johnson Crédits jenesaispas. ava + Blue Raven. signa Messages 378 Crédits 6343 Date d'inscription 02/02/2018 Autres comptes Akaf - Anna - Helga - James - Keyla - Lilith - Olivia - Pearl Sujet Re Luna Stuart ~ titre en route. Sam 31 Mar 2018 - 1958Luna ** Rebienvenue 3 Tu sais où me trouver en cas de questions ** James ~ Kiss me, Pick me, Love me...❖ Invité ❝ Invité ❞Sujet Re Luna Stuart ~ titre en route. Sam 31 Mar 2018 - 2014et même si elle n'a pas que des questions ? merci en tout cas Lilith ❝ Démons ❞ Age 2500 ans / 400 av JC Race Demon's Queen / Néphilim ✴ Pouvoirs • Chronokinésie niveau 3 • Télépathie niveau 3 • Electrokinésie niveau 3 • Magnétisme niveau 3 • Téléportation niveau 3 • Energy Blast niveau 3 • Magie Noire niveau 3 • Métamorphose niveau 3 Célébrité Scarlett Johansson Crédits All souls ava + Blue Raven. signa Messages 3487 Crédits 16448 Date d'inscription 03/06/2017 Autres comptes Akaf - Anna - Helga - James - Keyla - Lilith - Olivia - Pearl Sujet Re Luna Stuart ~ titre en route. Sam 31 Mar 2018 - 2036Oh bah oui 3 Lilith~" They can live in my new world or they can die in their old one..." ❖ Invité ❝ Invité ❞Sujet Re Luna Stuart ~ titre en route. Sam 31 Mar 2018 - 2046 Luna saute de joie dans le placard x~ la fiche sera faite dans les prochains jours, je pensais la faire ce soir, mais j'ai plus les yeux en face des trous Rebekha Kellen ❝ Etudiant - confirmé ❞ Age 20 ans Race Succube✴ Pouvoirs ♪ hydrokinésie ♪ Magnétisme Succube ♪ Métamorphose de la Succube ♪ Elektrokinésie ♪ hypnose vocale et par le regard. Célébrité Barbara Palvin Crédits astro graphics ava Blue Raven signa Messages 1464 Crédits 5007 Date d'inscription 10/08/2017 Autres comptes LUUKA CHEVALIER Danaë of Avalon, Death Edward Deadly,Erëlia Yi, Giulia de Medici, Liarä Medès, Mina Sullivan, Rebekha Kellen, Shaelin Walker, Shang Zhen Sujet Re Luna Stuart ~ titre en route. Sam 31 Mar 2018 - 2112reeee Bekha ~ Succubus ❖ Got a secret, can you keep it ? Invité ❝ Invité ❞Sujet Re Luna Stuart ~ titre en route. Lun 2 Avr 2018 - 1718Rebienvenue ^^ Invité ❝ Invité ❞Sujet Re Luna Stuart ~ titre en route. Lun 2 Avr 2018 - 1822merciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii <3 Mollie C. Dixon ❝ Hors la Loi ❞ Age 583 Race Néphilim✴ Pouvoirs Magie onirique _ Pyrokinésie_ Energy Blast_ Manipulation des ombres _Téléportation _ Bonne maitrise de la magie des sorts Célébrité Lena Headey Crédits Moi même Messages 808 Crédits 5090 Date d'inscription 08/10/2017 Autres comptes Nick, Dahut, Merlin, Mollie, Vick-Tim, Alicia et Hector Sujet Re Luna Stuart ~ titre en route. Lun 2 Avr 2018 - 2100Non mais t'étais pas censé être morte toi ? Pfff, faut tout faire soit même vraiment !!! Bienvenue Si tu as des questions sur notre relation n'hésite pas J'ai détaillé notre rencontre dans ma bio si tu veux Liste de Noel Invité ❝ Invité ❞Sujet Re Luna Stuart ~ titre en route. Mar 3 Avr 2018 - 1610Morte, moi? Nan, mais t'as vu ça où toi?!Je ne mourrai jamais.*se cache du rayon de soleil*JAAAAAAMAAAAAAAIS !!! - je vais aller lire ça et je te sonnerai si jamais Invité ❝ Invité ❞Sujet Re Luna Stuart ~ titre en route. Mar 3 Avr 2018 - 1753reuuuuh bienvenue Invité ❝ Invité ❞Sujet Re Luna Stuart ~ titre en route. Mar 3 Avr 2018 - 1804merciiiiiiiiiiiiii Invité ❝ Invité ❞Sujet Re Luna Stuart ~ titre en route. Jeu 5 Avr 2018 - 1934La fiche est parfaite Invité ❝ Invité ❞Sujet Re Luna Stuart ~ titre en route. Jeu 5 Avr 2018 - 2017Le poisson rouge n'était pas passé par ici... C'est donc fait. J'suis pas du tout en connais la maison t'façon Invité ❝ Invité ❞Sujet Re Luna Stuart ~ titre en route. Jeu 5 Avr 2018 - 2020Je connais touuuuus les recoins même ah, non... ouuu peut être ... je sais pas trop en fait, l'IA m'en encore emmené dans un coin rempli de bêtes étranges !! grrrr Invité ❝ Invité ❞Sujet Re Luna Stuart ~ titre en route. Jeu 5 Avr 2018 - 2026Parle pas de Galaad comme ça voyons Invité ❝ Invité ❞Sujet Re Luna Stuart ~ titre en route. Jeu 5 Avr 2018 - 2050 aaaah c'est luiiii?? je me disais aussi que cette tête immonde ne m'était pas inconnue Mirisa ❝ PNJ ❞ Age l'infini + 1 Race Créature cruelle et sadique✴ Pouvoirs - Bannissement temporaire - Bannissement définitif - Suppression de compte - Sanctions en tout genre - Tortureur en intrigues. Célébrité Un fantôme au dessus de ton épaule Crédits Crack. Messages 1803 Crédits 20624 Date d'inscription 27/11/2016 Autres comptes Aucuns Sujet Re Luna Stuart ~ titre en route. Dim 8 Avr 2018 - 1728Dossier classéBonjour Luna. Après vérification de tes antécédents, nous avons le plaisir de t'annoncer que ta fiche a été validée. Au vu de ton histoire, tu intègreras le groupe Etudiantsreeee Maintenant que tu es validé tu peux aller réserver ton avatar, et faire ta fiche de liens fortement conseillé. Tu pourras ensuite te lancer dans le RP tête baissée ! N'oublie pas que les quêtes et les intrigues sont là pour rythmer ton avancée dans le forum ! Voici quelques liens utiles pour bien commencer ღ www. Le Règlement ღ www. Les annexes ღ www. Les Scénarios ღ www. Les Crédits monnaie du forum N'hésite pas à MP un membre du staff à la moindre question, ou à utiliser la section 'demandes' ! Contenu sponsorisé ❝ ❞Sujet Re Luna Stuart ~ titre en route. Luna Stuart ~ titre en route. Page 1 sur 1 Sujets similaires» Luna Stuart ~ Vampire.» F Luna E. Stuart ft. Adélaïde Kane» Luna E. Stuart ~ Bird set free » Luna Stuart - Vampire - 1ère année» Luna Stuart ~ promenade au clair de de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forumInstitut Chevalier Admission Dossier rejeté C’est mon histoire J’ai dit stop à l’alcoolisme de mon mari » - © Getty Images Pour de mauvaises raisons, Bénédicte a longtemps fermé les yeux sur les excès de Patrick. Jusqu’au jour où elle s’est décidé à en parler. Par Je ne me suis pas rendu compte tout de suite que Patrick était alcoolique. La fréquence de sa consommation m’a alarmée longtemps après notre mariage. Pourtant, il buvait déjà avant. Nous buvions même volontiers ensemble. C’est quand je suis tombée enceinte que son problème m’a sauté aux yeux. Pendant ma grossesse, Patrick a continué à boire tout seul. J’ai trouvé bizarre qu’il ne ralentisse pas un peu la cadence et, totalement incongru, le soir de mon accouchement, qu’il descende seul au café du coin de la rue et en remonte sentant l’alcool à plein nez. Je n’ai rien dit. Je n’ai d’ailleurs rien dit pendant longtemps, de peur d’endosser le rôle de rabat-joie. Je ne me voyais pas, moi qui suis tellement douce et sympa aux yeux de mon mari, mettre le holà. J’ai donc laissé faire. Il m’a fallu du temps et de nombreux mois de vie commune pour comprendre que le vin n’était pas une boisson festive, exceptionnelle, mais bien une drogue quotidienne. Sa bouteille du soir n’était pas négociable et se doublait parfois, ou se multipliait encore davantage si l’occasion s’y prêtait. N’aimant pas voir Patrick saoul, j’ai commencé à refuser les dîners chez nos amis. Quelques mauvaises expériences de son ivresse en public me sont restées sur le cœur. Je me souviens de nuits atroces à côté d’un poids mort empestant l’alcool et ronflant comme un sonneur. » Ivre et lourdNotre fils était encore petit, alors je déclinais les invitations en prétextant qu’il était compliqué de le faire garder, que nous étions fatigués ou que nous avions prévu une soirée en famille... En tête à tête avec Patrick, je ne souffrais pas trop de son ébriété. Il était toujours doux avec moi, juste un peu lourd et souvent à côté de la plaque. Mais ce qui m’était vraiment intolérable, c’était de le voir ivre chez des gens que nous connaissions ou même dans la rue, devant des inconnus. Il me donnait alors l’impression de se saboter lui-même. Mon rôle de laisse » m’était intolérable. J’avais l’impression d’être la maîtresse d’un chien fou que je devais sans cesse remettre à sa place. Je ne pouvais plus supporter les fins de soirée, devoir le forcer à partir, alors qu’il était prêt à s’enfiler quatorze derniers verres». Je me souviens de quelques retours épouvantables et de nuits atroces à côté d’un poids mort empestant l’alcool et ronflant comme un subir ?L’année dernière, à l’occasion d’une visite chez le médecin, je me suis confiée. Il cherchait les causes de ma déprime et je lui ai fait part de l’alcoolisme de Patrick. Il m’a répondu que je ne l’aidais pas en acceptant ainsi tout de lui. Mais je n’avais pas envie d’entendre ça, j’ai essayé d’oublier et je ne suis pas retournée le voir. Pourquoi ? Peut-être parce que, d’une certaine façon, cela m’arrangeait. Patrick se sent toujours coupable les lendemains de ses excès. Il s’en veut et se transforme aussitôt en fée du logis. Lui qui ne fait pas grand-chose au quotidien est capable de vider le lave-vaisselle, de laver une casserole et de descendre la poubelle. Oui, les trois corvées dans la même journée ! Je me suis mise à profiter de sa honte pour lui faire accepter ce qu’il refuse d’ordinaire prévoir des vacances comme je l’entends, par exemple. Il dit oui à tout ! Il m’est même arrivé de reporter une conversation sur laquelle je savais que nous ne serions pas d’accord, en me disant Tiens, je lui parlerai de ça après une prochaine soirée arrosée.» Je savais que c’était malhonnête, mais c’était aussi ma façon de compenser. Patrick a continué à boire. Et moi, à refuser les sorties, les vacances chez des amis. Quand je programmais nos voyages, c’était toujours en fonction de l’alcool, devenu le quatrième membre de la famille. Il faudrait savoir pourquoi vous acceptez de subir tout ça. » Ainsi, alors que je rêvais d’un hôtel isolé, je réservais toujours en ville, de peur que, excentrés, nous ayons à louer un scooter, une voiture, et qu’il me faille batailler pour empêcher Patrick de conduire ivre. Je ne choisissais jamais d’hôtel à la campagne car j’avais constaté que la tranquillité accentuait son goût pour l’alcool. Je choisissais aussi la chambre en fonction de sa disposition. Je vérifiais, par exemple, qu’il y ait une baignoire ou au moins une salle de bains assez grande pour que je puisse y dormir. J’avais organisé toute notre vie autour de l’alcool, appris à réfréner mes réactions, à ne jamais me fâcher quand il rentrait le soir avec sa bouteille, prétextant des événements à fêter ou juste la joie de me revoir. De mon côté, j’avais totalement arrêté de boire il suffisait que je me serve un petit verre de sa bouteille pour qu’il descende immédiatement en racheter une. Je ne pouvais plus supporter le bruit de la porte et son regard avide. Quelquefois, il me disait T’es pas très drôle.» J’avais de plus en plus envie de me rebeller. Je voulais bien tout endurer, mais la moindre réflexion sur ce que je suis était pour moi un comble. Qui supportait depuis quatre ans les monologues et la bouche pâteuse, ainsi que les câlins d’un homme ivre dont je ne saisissais pas les mots et dont je n’avais plus envie ? L’ostéopathe à qui je confiais parfois mon dos et mes soucis a répondu à ma question en me disant Il faudrait savoir pourquoi vous acceptez de subir tout ça. » Sa parole a fait écho à celle du médecin rencontré l’année dernière. Si je ne le supportais pas, pourquoi est-ce que j’acceptais encore?La honte et les motsJ’ai pris mon courage à deux mains. Ça n’a pas été facile de parler. J’ai avoué à Patrick que je profitais de ses excès pour lui faire accepter certaines choses. Je lui ai dit que l’alcool instaurait un faux rapport entre nous, que chaque jour de fête était gâché d’avance par son comportement. Je lui ai confié qu’il m’arrivait de lui cacher une bonne nouvelle pour ne pas entendre Il faut fêter ça ! » Je lui ai expliqué que je ne pouvais plus supporter d’avoir honte de lui, je lui ai énuméré les âneries qu’il avait faites ou dites une fois ivre, je lui ai assuré qu’il valait mieux que ça. Je lui ai dit que j’appréhendais les vacances et les bouteilles de rosé, les hivers et les soirées au coin du feu, parce que l’alcool pourrissait les choses entre nous et que mon désir pour lui s’émoussait. Une fois sur deux, tu ne te souviens de rien le lendemain !», lui ai-je lancé. À ces mots, Patrick ne s’est pas énervé. Il m’a demandé si je voulais le quitter. Je lui ai répondu que je ne resterais que s’il essayait de changer. Il est dès le lendemain allé consulter quelqu’un. Je pensais que cette thérapie serait magique. Évidemment, non. L’alcool fait toujours partie de notre vie. Il me dépouille d’une partie de lui, il nous sépare, comme Patrick le dit lui-même. Quand il est ivre, il parlerait aussi bien à une porte qu’à moi. Mais il a accepté de regarder le problème en face et je me dis qu’il y arrivera. Et moi, je me sens libérée du silence. On me dit que, en tant qu’épouse d’alcoolique, je dois l’accompagner sans jugement… Pas si simple ! Je compte les verres, en imaginant le cheminement de la cirrhose ou celui du cancer qu’il se fabrique, mais je garde mes réflexions pour moi. Patrick est malade, l’alcoolisme n’est pas un problème de volonté, alors, je ne peux pas lui demander d’en avoir. De mon côté, je lui ai promis de ne plus profiter de la situation, et je m’y tiens! Hier, Patrick m’a dit Tu sais, un jour, il n’y aura plus l’alcool. Il faut juste que je trouve comment y arriver.» Et puis il m’a remercié de lui avoir ouvert les yeux. Alors j’ai fermé les miens tranquillement, et j’ai dormi sereinement, pour la première fois depuis des mois. Ne pas encourager la consommation est une première étape dans l'accompagnement d'un proche alcoolique... Getty Images/iStockphoto Depuis quelque temps, Marc trouvait que sa compagne remplissait un peu trop souvent son verre à table. Sans parler des soirées systématiquement arrosées et des apéritifs même le midi. "Certes, Aline ne se roulait pas par terre, n'était pas ivre morte un jour sur deux, mais après quelques verres, elle parlait un peu trop fort, s'énervait pour des broutilles ou devenait subitement excessivement émotive." C'est d'ailleurs à la suite d'une crise de larmes impromptue en plein restaurant, que Marc s'est résolu à parler avec Aline "de son problème avec l'alcool." "Ce fut très dur, elle n'a rien voulu entendre dans un premier temps. Mais petit à petit, je crois que mes mots ont fait leur chemin et elle a accepté d'aller voir un médecin. Ce qui ne l'empêche pas pour l'instant de ne pas arriver à s'en passer totalement." Difficile de savoir comment réagir face à l'alcoolisme d'un proche et ce, que l'on soit conjointe, amie, parent ou enfant. Existe-t-il une bonne façon de faire? Comment ne pas blesser ni juger? Peut-on aider quelqu'un qui boit trop mais qui ne veut pas l'admettre? Le point avec Emmanuelle Lacroix, psychologue et psychothérapeute spécialisée dans les addictions. Parler, mais ne pas juger ni accuser"Ce qu'il faut bien avoir à l'esprit, souligne en préambule Emmanuelle Lacroix, c'est que l'alcoolisme est une maladie. Sans vouloir caricaturer, on ne reproche pas son cancer à un malade, il en est de même avec l'alcoolisme. Les personnes qui en sont victimes n'ont pas choisi cette addiction. Par conséquent, il est contre-productif d'être dans le jugement ou la critique." En outre, prévient Emmanuelle Lacroix, "il faut être lucide, on ne peut malheureusement pas faire grand chose si l'alcoolique en question n'a pas décidé de se soigner. Accompagner ces personnes est d'une immense difficulté et une tâche souvent ingrate." Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement Ce qui ne signifie pas non plus qu'il faut supporter les comportements qui découlent de l'alcoolisme ou ne rien dire par peur de la réaction que cela entrainera. "En tant que proche, conjoint ou ami, on a une responsabilité. Difficile de faire l'autruche et d'accepter de voir l'autre se détruire à petit feu", poursuit Emmanuelle Lacroix. S'il y a contrôle de la consommation, c'est qu'il y a un problèmePremière étape dans cet accompagnement, mettre des mots sur ce mal. "Il y a un gros malentendu sur cette maladie que beaucoup décrivent comme le fait de boire tous les jours. Or c'est une définition restrictive. Est selon moi alcoolique quelqu'un qui ne boit pas pour le goût mais pour l'effet et qui surtout ne sait pas s'arrêter. Dès lors qu'il y a un effort pour s'interrompre, c'est qu'il y a un problème. C'est d'ailleurs une constante dans les addictions. A partir du moment où il y a un besoin de contrôler sa consommation, c'est qu'il y a une dépendance." Une nuance importante, insiste la psychologue, "parce que de nombreuses personnes considèrent que parce qu'elles ne boivent pas durant la semaine, elles ne sont pas concernées. Alors qu'elles ne peuvent pas se passer d'une soirée d'ivresse le week-end." Privilégier une communication non violenteLorsqu'il s'agit d'un proche, d'autant plus si c'est un conjoint, "il ne faut pas hésiter à en parler, mais en adoptant une communication dite non violente, qui permet en général de faire passer le message plus facilement." A savoir au lieu de "tu bois trop", trop agressif et accusateur, préférer une formulation comme celle-ci "Je suis mal à l'aise avec toi lorsque tu as trop bu." Ou bien, "je ne supporte pas la façon dont tu me parles après trois verres", ou encore "je m'inquiète et je n'aime pas te voir lorsque tu es ivre." L'alcool responsable de 13% de la mortalité masculineLa consommation d'alcool en France était responsable de décès en 2009, dont 40% survenus avant 65 ans, selon une étude de 2013 réalisée par le service de biostatistique et d'épidémiologie de l'Institut Gustave-Roussy de Villejuif, publiée dans l'European Journal of Public Health. L'alcool est responsable de 36 500 décès chez l'homme, ce qui représente 13% de la mortalité totale masculine et de 12 500 décès chez la femme, soit 5% de la mortalité totale, selon l'étude. Le fait de parler de soi permet déjà d'éviter le déni de son interlocuteur. Difficile en effet de vous rétorquer que non, vous n'êtes pas mal à l'aise. En vous mettant en avant, en n'étant pas dans l'accusation mais dans l'exposition de votre propre ressenti, vous permettez d'ouvrir le dialogue, analyse Emmanuelle Lacroix. Autre approche possible, poser des questions sur ce qui ne va pas. "Quand il s'agit d'un ado par exemple, la consommation dit quelque chose, il faut arriver à trouver quoi." Autre précaution à prendre avant d'aborder le sujet, le faire à un moment où l'autre est sobre. "Inutile d'avoir cette conversation au moment où il se sert un verre, explique Emmanuelle Lacroix. Imaginez par exemple, que vous êtes accro au chocolat ou fumeur. Pensez-vous être réceptif au moment où vous vous apprêtez à assouvir votre besoin?" Mieux vaut donc profiter d'un moment de complicité, de convivialité, pour aborder le sujet. Si c'est une amie, proposez-lui de vous voir au moment du goûter, ou d'aller faire une balade. Si c'est votre conjoint, cela peut-être à la faveur d'un week-end en tête à tête, etc. Se faire aider en tant qu'accompagnant"Dans le cas du couple, choisir de faire sa vie avec une personne alcoolique n'est pas anodin, prévient Emmanuelle Lacroix. Cela révèle aussi des choses sur soi. Sans le savoir, on peut être soi-même dépendant de la dépendance de l'autre. J'ai souvent affaire à des conjoints qui pensent que tout ira mieux lorsque l'autre aura réglé son problème avec l'alcool. Or il n'en est rien parce que d'une certaine façon, l'équilibre du couple est mis en cause. Celui qui était malade a moins besoin de celui qui ne l'est pas." Il faut, en tant que proche, s'interroger sur ce que l'on fait, consciemment ou non, pour encourager cette consommation. Ne pas acheter d'alcool pour l'autre, ne pas lui faciliter la tâche les jours de gueule de bois en appelant son travail à sa place et en prétextant un virus, ne pas lui fournir d'excuses." Au delà de cela, estime la psychologue, "il peut être utile de pouvoir être aidé en tant qu'accompagnant, tant il est difficile de supporter un alcoolique." Elle conseille notamment l'association Al Anon, créée pour l'entourage des alcooliques. "Il faut briser ce mécanisme de la co-dépendance", résume-t-elle. Enfin, suggère Emmanuelle Lacroix, on peut tenter certaines méthodes un peu radicales, "à l'américaine", comme prendre une photo du proche en question lorsqu'il est vraiment ivre, et la lui montrer le lendemain; faire une "intervention" en l'obligeant quasi par la force à se faire admettre dans un centre de désintoxication. "Tout ce qui peut aider à casser le déni inhérent à cette maladie peut être utile, conclut la psychologue. Mais ce n'est qu'une étape. S'il n'y a pas de volonté en face de s'en sortir, ce que fera l'entourage n'aura pas assez de poids." Caroline Franc Desages Les plus lus OpinionsTribunePar Carlo Ratti*ChroniquePar Antoine Buéno*ChroniqueJean-Laurent Cassely Bonjour, Je suis vraiment en détresse, je ne sais vraiment pas quoi faire et je veux avoir quelques avis. merci d'etre honnetes et serieux. Je me suis mariée avec mon mari au bout d'un an de connaissance. on a eu une petite fille deux ans après notre mariage. à la base nous avons le même caractere et ce n'est pas vraiment un bon caractere qu'on a. on s'enerve vite on est impulsif. en gros depuis quelques mois mon mari ne me supporte plus, il ne fait que me crier dessus il ne veut faire aucun effort. c'est vrai qu'il est stressé qu'il veut rentrer au maroc tout comme moi. mais depuis une semaine il est au maroc avec ma fille et sa famille mais ne s'est pas calmé pour autant. à chaque fois qu'il m'a appele il ne manque pas de me rappeler que les seules personnes qui compte pour lui c'est lui meme et notre fille. C'est vrai que depuis notre mariage à chaque fois qu'on s'enguele je sors de la maison on lui disant que je me barre je sais que c'est nul mais c'est plus fort que moi Ce qui m'importe aujour d'aujourd'hui c'est ma fille. je ne sais pas ce qu'il faut faire pour qu'elle soit heureuse, qu'elle ne soit pas penalisé par nos problèmes. je ne sais pas s'il faut que je m'ecrase et que je supporte tout pour le bien de ma fille sachant que c'est très très dur pour moi de fermer ma gueule et de me laisser faire. est ce qu'on doit se separer pour le bien de ma fille. je ne sais pas quoi faire svp conseillez moi je ne sais plus quoi faire et j'ai besoin d'entendre l'avis de personnes qui ont du recul. merci pour vos réactions. Aujourd’hui, je laisse la parole à une maman d’une tribu XXL, assistante familiale ou famille d’accueil. Elle a elle-même été accueillie dans la famille de la nounou en or qui me gardait étant petite… et qui a transmis le virus à ses enfants! Cette maman est mariée avec le fils de ma nounou en or… bref, être assistant familial, c’est une histoire et un héritage familial! Si ce métier est l’un des plus beaux, je ne vais pas vous livrer un récit idyllique de la famille d’accueil… Non. C’est un récit dur, qui m’a bouleversé… On imagine tous que ce métier est difficile, que rien n’est tout rose… mais quand ça tourne au cauchemars? Quand ce métier qu’on choisit et qu’on exerce avec son coeur détruit sa propre famille ? Je vous laisse découvrir son histoire, leur histoire… qui restera en anonyme, vous comprendrez vite pourquoi *** Bonjour Christelle, peux tu te présenter, nous en dire un peu plus sur toi, sur ta famille? Je suis assistante familiale depuis presque 8 ans. J’ai 6 enfants, bientôt 7… 5 garçons et une fille 18 ans, 17 ans, 15 ans, 12 ans, 9 ans, 8 ans Qu’est-ce qui t’a donné envie de devenir assistante familiale? J’ai cette envie depuis que j’ai l’âge de 15 /16 ans . J’ai vécu moi-même en famille d’accueil de 13 à 18 ans. Quelles sont les démarches pour obtenir l’agrément d’assistant familial? Est-ce long? Il faut quatre mois à partir de la réception de votre dossier. Il faut en faire la demande auprès du Conseil Général, ensuite il y aura la visite d’une assistante sociale, d’une éducatrice et voir même d’une puéricultrice. Mais il ne suffit pas d’obtenir l’agrément, il faut se faire recruter par un service d’accueil familial. On nous fournit la liste avec l’agrément. Et ce sont eux qui viennent chez vous à leur tour pour faire la visite de la maison etc. Un peu comme pour l’obtention de l’agrément. Ensuite, il y a une visite chez le psychologue du service et un rendez vous avec la direction. Ensuite, votre employeur vous fera faire une formation obligatoire de 60h, qui sera suivie d’une seconde formation de 240h avec possibilité de passer un diplôme d’état. Comment préparer son conjoint et surtout ses enfants à ce choix professionnel? Mon conjoint connaissait déjà ce métier car sa maman l’exerce depuis qu’il a 6 ans. Mes enfants étaient d’accord sauf un, donc j’ai rempli les papiers et je lui ai dit que je l’enverrais lorsqu’il serait d’accord. A force de discussions, il a accepté. Il connaissait aussi ce métier par mamie. A quelles difficultés es-tu confrontée au quotidien? N’est-ce pas parfois difficile de conserver l’harmonie familiale? Qu’est-ce qui est le plus dur pour toi, pour vous? Pour le premier accueil tout s’est super bien passé. Nous avons accueillis une petite fille de 4 mois et demi, les garçons étaient ravis, elle s’est très bien adaptée. La grosse difficulté, c’était la situation de cette petite fille adorable, pas de visite du tout, abandon de la maman pas de papa. Il faut s’attacher mais pas trop car ce n’est pas votre enfant et quand c’est un bébé et qu’il n’a aucun lien avec ses parents… dur dur… Finalement, elle est devenue adoptable à l’âge de 3 ans et nous avons pu l’adopter avec une grande joie pour toute la famille ! Pour le deuxième accueil, un petit garçon de 4 ans… du même âge que mon dernier garçon à ce moment là. Il a du quitter sa famille d’accueil en urgence sur décision du juge des enfants car sa maman avait déjà rapté deux enfants de la fratrie dans les familles d’accueils. Il a très mal vécu la séparation… il a bien mis deux ans à s’adapter et c’est le temps qu’il avait mis pour s’adapter dans sa première famille . Nous avons eu le droit à des pipis culotte, selles, inondation du lit malgré la couche… Il a aussi cassé énormément de jouets de mes enfants. Il était vraiment perturbé et quand nous partions en vacances tout cela empirait… Il était content de partir avec nous mais le changement de lieu de vie le déstabilisait. Heureusement, avec le temps ça s’est calmé. Mais c’est resté un enfant plus ou moins difficile à la maison comme a l’école ou en colo. Ensuite, c’est mon mari qui est devenu à son tour assistant familial, nous avons accueilli la petite soeur du garçon, une petite fille de deux ans super et ça a fait un grand bien à son frère, il était vraiment heureux! Nous avons aussi fait beaucoup de relais accueillir des enfants qui sont placés chez des collègues qui partent en vacances sans eux ou pour des weekends. Il y a eu vraiment de belles rencontres des jeunes supers! A cette période de notre vie nous étions très heureux et contents de notre choix de vie. Passons au plus dur … Mon mari a obtenu un deuxième agrément. Un jeune mineur isolé qui avait soit disant 10 ans… par la suite nous avons appris qu’il avait en réalité 14 ans… Il était en France depuis un an et était passé par un foyer à son arrivée. Nous étions la troisième famille, il avait épuisé les deux autres… Il ne devait rester que le temps de lui trouver un foyer. Finalement, après un temps d’adaptation où il a essayé de faire sa loi… Pour lui les plus petits et les femmes ne sont rien et il peut crier ou donner des ordres sans soucis !… Il ne s’est pas si mal adapté à notre famille. Il était très serviable, sympathique et nos employeurs étaient très surpris de ce changement radical. Il était devenu très souriant, agréable … bref ! Ils ont décidé qu’il ne partirait pas en foyer puisque tout allait bien. Puis au bout de 6 mois le cauchemar a commencé… Une petite fille qui était venue en relais 18 mois auparavant, a accusé un de nos 5 garçons de lui avoir demandé de lui sucer la quéquette contre une sucette », donc convocation au service de signalement et interrogatoire des quatre enfants accueillis… Cette histoire sera finalement classée sans suite. Il y a eu trois versions de la jeune auprès des gendarmes et nos garçons n’avaient rien fait ! Sauf que le jour où les enfants accueillis ont été interrogés, le jeune mineur isolé a pris peur et a cru que c’était pour lui. Il a avoué au psychologue du service qu’il violait notre fille de 6 ans régulièrement la nuit… Nous, on nous a dit qu’il partait, que nous devions parler avec notre petite… qu’il s’était passé des choses mais quoi ? Pas de réponses… secret professionnel! Après enquête, audition de notre fille, examens médicaux et les aveux complets du jeune, qui lui pensait n’avoir rien fait de mal puisqu’il était amoureux, nous avons su… S’en est suivi le retrait des trois autres enfants dont une de trois ans en cours d’adoption on nous avait demandé de nous prononcer pour sa future adoption et nous étions encore une fois d’accord. Retrait également des agréments. Après trois mois, nous les avons récupéré devant une commission qui nous a donné raison! Mais, on ne nous confie toujours pas d’accueils, notre employeur nous accuse d’un manque de vigilance car nous n’avions rien vu rien entendu… mais c’était au milieu de la nuit! L’avocat est outré ainsi que les gendarmes et les membres de la force ouvrière… En me renseignant auprès des collègues, j’ai appris que la première famille avait eu des soucis avec l’école. Plus aucune petite fille ne voulait y aller car ce mineur isolé leur touchait les fesses et les seins! Selon eux c’est un problème de culture… J’apprend aussi que cette collègue a été licenciée, et qu’il y avait eu aussi des soucis dans son foyer a son arrivée en France! Personne ne nous avait rien dit !! Quelles sont les conséquences d’une telle situation ? Quand il y a suppression de l’agrément cela dure maximum 4 mois avant de passer en commission et le salaire est d’environ 200€ apparemment il est rare de retrouver son agrément après une suppression et si l’assistant familial retrouve son agrément il passera en indemnité d’attente, soit environ 400€ pendant maximum 4 mois… Ensuite soit l’employeur vous licencie ou vous redonne un accueil ou bien comme pour nous pas d’accueil ,pas de licenciement mais nous retouchons nos salaires , en attendant la fin de la procédure ou un licenciement… Nous vivons cette situation depuis 19 mois n’avons plus le droit de voir les enfants accueillis ,ni le droit de téléphoner nous envoyons des cartes pour les anniversaires mais doutons très fortement que les enfants ait leur courrier car nous devons passer par le service . Nos enfants souffrent énormément de cette situation et de cette séparation et nous aussi. Nous essayons de nous reconstruire mais notre vie est entre parenthèse c’est difficile… As-tu quelque chose à ajouter ? J’ai répondu à cette interview non pour dégoûter de ce métier ou faire peur, mais pour mettre en garde. Mes beaux-parents et quatre de mes beaux-frères et belles-soeurs exercent le même métier et ne rencontrent pas les mêmes choses et heureusement! Mais si notre histoire peut mettre en garde au moins ce sera déjà ça. Il faut savoir que sur la parole d’un enfant nous, nos maris, nos enfants peuvent se retrouver auditionnés par les gendarmes ou voir mis en garde à vue alors qu’ils sont innocents… Mon fils de 11 ans n’a pas bien vécu cette situation, lui qui rêvait d’être gendarme ou policier s’est retrouvé accusé et auditionné. C’est très impressionnant pour un enfant et d’être accusé comme ça il n’a pas compris et ça l’a dégoûté, il ne veut plus être gendarme ou autre… Si vous pouviez revenir en arrière quels seraient vos choix? Si nous pouvions retourner en arrière mon mari et moi resterions sur notre position de départ car nous avions demandé à accueillir une petite fille afin de n’avoir un étage qu’avec des filles mais ils nous ont proposé ce jeune… J’aimais vraiment ce métier et il y a beaucoup de jeunes très biens et qui se comportent très bien en famille. La famille d’accueil est une chance pour se reconstruire et avoir le modéle d’une famille qui fonctionne bien pour ensuite pouvoir se reconstruire et avoir un jour une famille à soi . Nous gardons espoir et espérons qu’il y aura une fin heureuse et espérons que ce n’est qu’un mauvais passage de notre vie. Ce bébé qui va bientôt arriver a été conçu pour panser nos coeurs et nous redonner un peu de joie de vivre et de bonheur, mais jamais il ne remplacera cette adorable petite fille que nous devions adopter. Si elle ne revient pas nos coeurs en garderont la cicatrice à vie… » Merci pour ce témoignage bouleversant <3 À propos Articles récents Maman multi-casquettes, un brin écolo et pratiquant l'instruction en famille. Résolument optimiste, j'espère vous transmettre ma bonne humeur et ma douceur! Pour en savoir plus sur moi c'est par ici !

je ne supporte plus mon mari qui boit